de Boris Vian : La société vue par Vian.
Colin et Chloé vivent le grand amour, ils sont jeunes, riches, beaux. Chick et Alise, leurs meilleurs amis adorent Jean-Saul Partre et collectionnent toute son œuvre. Nicolas, Isis et la souris accompagnent les protagonistes dans leur aventure. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, jusqu’à ce que…
Les protagonistes sont superficiels, les situations extraordinaires, étranges même parfois. Boris Vian utilise de nombreux néologismes (souvent péjoratifs), exagère les situations à l’extrême pour critiquer la société. Dans la seconde moitié du livre, tout y passe : amitié, Église, monde du travail, argent, forces de l’ordre, médecins… les situations sont exagérées, un peu, les critiques acérées et intéressantes, beaucoup, les constructions grammaticales et le vocabulaire soutenus, parfois.
N’ayant pas eu de formation littéraire, je me suis parfois senti noyé sous la masse de références, de jeux de mots. J’ai mis du temps à entrer dans le monde créé par Vian… le jazz et Jean Paul Sarthe y étant omniprésent, il est possible que ces deux “notions” me soient trop étrangères pour me permettre de plonger dans le livre facilement. Peut-être qu’une relecture me sera bénéfique, une fois que j’aurai acquis un peu plus de connaissances littéraires.
de Georges Orwell : La politique, la propagande, la dictature,… à la ferme.
de Brian Aldiss : Les trois nouvelles qui ont inspirées le film AI.
de Robert Merle : La vie d’un allemand qui devint SS.
de Terry Pratchett : Délires au pays des pharaons.
de John Kennedy Toole : Le monde marche sur la tête !
de Daie Sijie : La littérature et la révolution culturelle
de Ray Bradbury : Vive la télé, brûlons les livres !
de Dan Brown : Cluedo et chasse au trésor.
de Bernard Werber : Mouais bof.