J’ai pris un énorme plaisir en écrivant, dans ce numéro, un article de 10 pages sur les Rogue-like). Je n’ai pas décrit l’intégralité des possibilités de ces jeux que j’affectionne (j’adore plus particulièrement Pixel Dungeon et The Binding of Isaac) mais je me suis amusé avec un style littéraire assez peu courant dans un magazine informatique. Petit extrait qui vous donnera peut-être envie de découvrir l’article complet :
Si vous ne connaissez pas les Rogue-like, notez qu’il peut être particulièrement déstabilisant de voir un joueur aguerri s’adonner à sa passion, en particulier si ce dernier est un puriste du genre. Pourquoi ? Certainement parce que dans bien des cas, là où le joueur averti voit un héroïque et intrépide chevalier au cœur vaillant empli d’un courage inébranlable en quête d’un trésor légendaire, ayant pour seul équipement un antique glaive, un bouclier dévoré par les mites et une gourde récemment vidée de son contenu pourtant fort peu alléchant, tentant avec ténacité de triompher d’un indomptable dragon maléfique à proximité d’un couloir laissant uniquement entrevoir une pénombre peu encourageante lorsque les flammes dévastatrices crachées par son ennemi sont suffisamment éloignées pour ne pas être trop éblouissantes, le néophyte voit « @ D » entre deux rangées de « | ». Forcément, ça déstabilise quelque peu…
Pour cet article, j’ai interviewé l’auteur de Tales of Maj’Eyal et j’ai dessiné un arbre d’influence pour un bon paquet de Rogue-like (sous licence CC:BY-SA).
Lorsque vous faites un tel arbre, chaque discussions que vous aurez avec des fans de Rogue-like sera un véritable pugilat « Celui-ci ne devrait pas être dans la liste », « Tu as osé oublié celui-là ! », « La licence de ce Rogue-like n’est pas bonne ». Parmi les très nombreux rogue-like cités, j’ai réussi à glisser une référence à Kaamelott (petite référence pour les connaisseurs) et une moins discrète à Herocorp, bref, je me suis amusé…
Un peu plus loin, le magazine se termine par un article de trois pages sur Wikimedia.