couverture de Joanne K. Rowling

Il est vrai qu’avec ce livre je m’éloigne du style de littérature que je lis depuis cet été, mais le changement ne fait pas de mal. Même s’il est vrai que d’un point de vu philosophique nous sommes très loin de 1984 j’admets que j’ai grandement apprécié la lecture de cet ouvrage. J’avais déjà lu les précédents je me suis attaché aux personnages et dans ce sixième tome je les retrouve avec plaisir.

J’ai trouvé que l’histoire était très bien introduite, avec un petit rappel des précédents tomes fait de façon très originale et agréable à lire (les tomes 2, 3 et 4 m’avaient plutôt déçu sur ce point). L’histoire se met alors en place tranquillement mais les 200 dernières pages se dévorent tellement vous vous prenez au jeu. Des rebondissements en veux-tu en voilà. Vous vous attendez à ce que telle chose se passe, une autre la remplace et vous surprend, et quand finalement vous arrivez à l’admettre une autre vous surprend d’avantage. Un régal.

Seule déception, il va maintenant falloir attendre longtemps avant de lire la suite.