couverturede Greg Egan

Après 3 chapitres, je considère « La cité des permutants » comme un livre indispensable, tant les questions philosophiques abordées me semblent passionnantes. Jusqu’au chapitre 16, l’intrigue s’installe très tranquillement jusqu’à une révélation qui me semble particulièrement géniale. On en est alors à la moitié du roman…

Hélas, à partir du chapitre 17, certaines explications me perdent et même si quelques passages me semblent intéressants, cette deuxième partie m’enchante globalement moins que la première. Plusieurs intrigues enchâssées, certaines apportent d’intéressantes questions. Dans l’ensemble la lecture est exigeante, apporte matière à réfléchir même si c’est parfois au détriment de la narration.